l'impression au tampon en Inde |
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L’artisan tisse d’abord la pièce en soie ou coton, écrue. Puis, dans un deuxième temps, il la met en couleur : c’est l’impression. Un seul côté est privilégié, l’envers reste naturel. |
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Ici, les impressions sont réalisées manuellement à l'aide de tampons de bois. |
Les colorants végétaux sont préparés sous forme de pâte. L’artisan imprime fortement le tampon sur le tissu tendu sur un molleton, et répète autant de fois que nécessaire le dessin selon des repères préétablis très précis. Puis il remplit le tampon de la couleur choisie et repasse au même endroit. Autant de couleurs, autant de passages! L’habileté est primordiale. |
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Autrefois, l’artisan peignait directement sur la toile avec des couleurs végétales : c’est le Kalamkari (de kalam : pinceau, et kar : travail) ; le terme est resté, même quand le dessin est fait au tampon, pour un certain type de motifs traditionnels dans une palette de bruns dominants. |
kalamkari |
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